Elles montrent que :

• plus d’un lycéen professionnel sur deux est toujours en formation l’année suivante ;
• parmi ceux qui ne poursuivent pas d’études, 48 % sont en emploi salarié en janvier 2023 (40 % dans le secteur privé et 8 % dans le secteur public) ;
• le taux d'emploi salarié de ces lycéens croît avec le diplôme préparé (29 % des sortants de CAP, 45 % des sortants de bac pro et 62 % des sortant de BTS sont en emploi 6 mois après leur sortie d'études) ;
• les lycéennes professionnelles s'insèrent plus facilement que les garçons dans la vie active ;
• l’absence de réseau professionnel, l’éloignement du marché du travail des représentants légaux ou le manque de ressources pour pouvoir être mobile géographiquement rendent plus difficile l'insertion professionnelle.

Elles mettent aussi en évidence que :

• le taux d'apprentis qui poursuivent leurs études après leur dernière année de formation de niveau CAP à BTS en 2021-2022 est moins élevé que celui des lycéens professionnels. Pour l'essentiel ils s'engagent à nouveau dans une formation en apprentissage ;
• leur taux d'insertion est par contre meilleur que celui des lycéens professionnels (67 % occupent un emploi salarié en janvier 2023) ;
• ils sont majoritairement salariés dans le secteur privé ;
• l'emploi occupé est un contrat à durée indéterminé dans 60 % des cas.

>> Consultez :

• la note d'information n° 23.53 relative à l'insertion professionnelle des lycéens professionnels sortis d'études en 2022 (décembre 2023) ;
• la note d'information n° 23.52 relative à l'insertion professionnelle des apprentis de niveau CAP à BTS (décembre 2023).
   

Source : DEPP